Trop, c'est trop ? Déjà condamnées à de lourdes amendes pour des scandales de manipulation de cours, plusieurs banques internationales, au nombre desquelles JP Morgan, Deutsche Bank ou Goldman Sachs, songeraient à restreindre l'usage de messageries instantanées ( chat rooms) par leurs traders. Ces messages, qui sont enregistrés et archivés, ont servi de preuve dans nombre de dossiers tels que le Libor ; d'autres affaires devraient surgir dans les semaines à venir.
Fraudes : plus de "chat rooms" pour les traders ?
Créé le
20.01.2014-
Mis à jour le
29.01.2014