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Veille

Crédit Agricole utilise Digimind pour sa veille

Créé le

23.08.2011

-

Mis à jour le

30.08.2011

Comment harmoniser les besoins en veille d’une banque touche-à-tout et divisée en plusieurs entités ? Après un benchmark de 6 mois, Crédit Agricole a choisi Digimind comme outil principal.

« Notre groupe est positionné sur tous les marchés. Nous voulions une plate-forme mutualisée de veille pour l’ensemble du groupe. Nous cherchions un outil commun pour industrialiser le processus pour gagner en temps et en efficacité, sans tout centraliser », justifie Gilles Bonabeau, responsable Information et Veille chez ​Crédit Agricole SA. Après une étude de marché poussée, et 6 mois de test en condition réelle avec deux éditeurs différents, Crédit Agricole SA a donc choisi Digimind, comme plate-forme de veille principale pour ses employés, mais également pour ceux des Caisses régionales, de CA CIB, d’Amundi, de LCL, de CA Assurances, de BforBank et de CASEIS. Outre une cellule de veille dédiée (avec des équipes de documentalistes chargées de la diffusion des informations au fil de l’eau et de faire la veille papier), l’ensemble du groupe comprend entre 80 et 90 veilleurs qui, en plus de leurs tâches habituelles, surveillent leur secteur d’activité et remontent l’information trouvée à l’ensemble de leurs collègues. C’est à eux que sont destinés les outils de Digimind. Quand l’un des veilleurs veut utiliser Digimind, il s’agit d’un véritable projet informatique qui prend environ 2 mois à calibrer. Il faut apprendre à l’utilisateur comment se servir des outils (ce qui prend une journée), intégrer ses différentes sources d’information, paramétrer les différents modules de sortie pour les automatiser au maximum : qui va recevoir quel type d’information ? à quelle fréquence ? etc. Une fois passée la période de transition, Digimind n’intervient plus directement chez Crédit Agricole, sauf pour la veille de réputation et d’image, car il faut ajouter un module graphique de ranking. Avant l’été, 13 projets étaient en cours d’installation, l’ensemble des veilleurs passera peu à peu à cette nouvelle plate-forme.

À retrouver dans la revue
Revue Banque Nº739