Le Comité de Bâle a formulé des propositions pour mieux utiliser les notations externes, incluant l’obligation pour les établissements de conduire leur propre analyse interne du risque (cf Rapport annuel 2009 de la Commission bancaire).
Par ailleurs la nouvelle rédaction de l’article 111 de la Directive 2006/48/CE sur les grands risques impose des conditions plus restrictives sur les expositions aux groupes de clients comprenant un établissement de crédit (limite « raisonnable » inférieure à 100 % des fonds propres pour les banques, dont 25 % des fonds propres représentent moins de 150 millions d’euros), obligeant à une plus forte diversification des placements de trésorerie.