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Pour l'action de groupe

« La somme de petits dommages individuels porte préjudice à la société »

Créé le

18.03.2013

-

Mis à jour le

26.03.2013

Selon certains économistes, la protection du consommateur est rendue nécessaire par sa rationalité limitée et l’imperfection des informations dont il dispose. Augustin Landier traduit ici cette école de pensée.

Dans un rapport [1] rendu au Conseil d’analyse stratégique, vous justifiez le besoin de réforme de la protection du consommateur par le fait que ce dernier souffre de rationalité limitée. C'est-à-dire ?

Un consommateur qui achète ne se comporte pas comme un robot doté d’une puissance de calcul illimitée : en général, les gens ne disposent pas des outils cognitifs pour décrypter les informations qu’on leur fournit sur un bien ou un service. Informer ne suffit donc pas à protéger le ...

À retrouver dans la revue
Revue Banque Nº759
RB