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IASB

« Ce n’est pas parce que certaines choses sont difficiles à mesurer qu’il faut les ignorer. »

Créé le

16.04.2014

-

Mis à jour le

22.05.2015

Obscurité, complexité, virtualité… les critiques à l’encontre des normes IFRS foisonnent. Philippe Danjou, membre du Board de l’IASB, fait une mise au point et décrypte les chantiers du normalisateur international.

Il existe un débat vif et virulent sur les normes IFRS en France. Comment expliquez-vous cette polémique ?

En 2002, la Commission européenne a décidé d’adopter les normes mondiales IFRS et pour cela de déléguer un certain pouvoir à l’IASB. Ce fut un choc culturel pour certains États membres : par exemple, en France,  la normalisation comptable était jusqu’alors une fonction régalienne. La France entretient une certaine mésentente avec le capitalisme et elle n’encourage pas ...

À retrouver dans la revue
Revue Banque Nº772