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Le capitalisme woke : quand l’entreprise dit le bien et le mal

Créé le

18.07.2022

Les entreprises participent de plus en plus à la définition du bien commun et prennent position face aux événements. Ainsi, Décathlon a suspendu ses publicités sur la chaîne CNews jugée trop conservatrice, la compagnie Lufthansa a banni l’expression « mesdames et messieurs », devenue trop limitative, la marque de chaussures de luxe Louboutin a mis en place une campagne portée par la militante antiraciste Assa Traoré. Journaliste en charge de la politique économique française au Figaro, Anne de Guigné dénonce la moralisation du capitalisme et les dérives des entreprises sur le terrain des valeurs. Elle s’inquiète du virage politique du capitalisme de nature à nourrir une profonde confusion entre valeurs et marketing, au détriment de l’exercice démocratique.

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À retrouver dans la revue
Revue Banque Nº868