L’IA couplée avec la RPA permet d’accroître les possibilités d’automatisation. C’est notamment le cas en présence de données non structurées.
Par exemple, en matière de lutte contre le blanchiment et l’argent du terrorisme, les processus liés à la connaissance du client – qui varient selon les pays –, la réglementation, les produits financiers, et les canaux d’exécution (smartphone, agence…) nécessiteront le traitement d’un certain nombre de données non structurées (analyse des images d’une carte d’identité, écriture manuscrite d’un formulaire…). C’est un process d’intelligence artificielle qui va gérer le traitement du document lui-même ainsi que sa classification. La RPA prendra alors en charge ces informations normalisées, pour les injecter dans les processus ad hoc et poursuivre le traitement de façon automatisée.
