Selon le banquier d’affaires Raphaël Rossello, le recours au crédit massif fait peser un risque considérable sur l’économie mondiale et menace la démocratie libérale. Partant du constat que des pays comme les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France auraient été en récession durant les quarante dernières années s’ils n’avaient pas eu recours au crédit, il dénonce l’illusion de croissance économique et alerte sur la poursuite d’une politique économique basée sur l’augmentation sans fin de la dette. Considérant que la croissance ne pourra pas rembourser la dette alors même qu’elle en est devenue tributaire, l’auteur propose des clés pour repartir sur des bases saines, une fois les largesses de l’argent magique disparues. Parmi celles-ci, les valeurs de travail et d’emplois pérennes et productifs sont placées au centre.
Demain – La fin de l’insouciance ?
Créé le
24.11.2022-
Mis à jour le
28.11.2022