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Banques au bord de la crise de nerfs

Créé le

15.09.2011

-

Mis à jour le

02.11.2011

Une règlementation plus serrée, des fonds propres supplémentaires et aujourd’hui c’est même la nationalisation qui est présentée comme la solution à la crise qui frappe les banques françaises. Faut-il en arriver là ? Des spécialistes du milieu bancaire livrent leur analyse des événements actuels.

Banques au bord de la crise de nerfs
Christophe Nijdam
  • Responsable de la recherche européenne Expert Corporate Governance Service (ECGS), co-entreprise de conseil en gouvernance dirigée par Proxinvest
  • Administrateur Institut pour l’Education Financière du Public (IEFP)
  • Analyste pour le secteur bancaire AlphaValue
  • Secrétaire général Finance Watch
Dhafer Saïdane
  • Professeur Skema Business SchooL
  • Maître de conférence Université Lille Nord de France
Driss Lamrani
Jean-Baptiste Bellon
  • Analyste bancaire Trapeza
Jean-Paul Redouin
  • Sous-gouverneur Banque de France
Romain Burnand
  • Dirigeant Moneta AM
Éric Bourguignon
  • Directeur général délégué SwissLife Asset Management

Accords du 26 octobre : « Compter les titres hybrides dans le capital des banques est une marche arrière », Jean-Paul Redouin, Banque de France

 

« Démultiplier les moyens du FESF par un effet de levier », Éric Bourguignon, SwissLife Asset Management

 

L’urgence de la transparence sur la résilience du système financier, Driss Lamrani, économiste et essayiste

 

« Tant que le rempart de la BCE tient, il est prématuré de parler de nationalisation », Christophe Nijdam, AlphaValue

 

« La réponse que les marchés attendent est politique », Jean-Baptiste Bellon, Trapeza Conseil

 

« Une recapitalisation n’est pas nécessaire dans les conditions actuelles », Romain Burnand, Moneta AM

 

« Il faut calmer les esprits et regagner la confiance », Dhafer Saïdane, Université Lille 3 et Skema Business School