Avec la DSP 2, la volonté du législateur européen est de renforcer la sécurité, mais aussi d’ouvrir la concurrence dans le domaine des paiements et d’encadrer les nouveaux acteurs de la FinTech, particulièrement innovants en matière de paiement. Si le premier point devrait être bien couvert par l’authentification forte renforcée, au prix de bouleversements non négligeables pour les e-commerçants, le second souffre encore de quelques frilosités des acteurs en place, regrette Bertrand Pineau, de la Fevad.
Achetez ce contenu à l'unité
Chargement du panier