Pour Lorenzo Bini Smaghi, président du Conseil d’administration de Société Générale, les conditions ne sont pas réunies aujourd’hui au sein de l’Union bancaire pour donner naissance à de véritables banques paneuropéennes comparables aux banques américaines. La fragmentation gêne les établissements européens et le dernier accord de Bâle risque lui aussi de les pénaliser.
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