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Bâle II et au-delà : pour un regain d'optimisme

Créé le

03.12.2004

Pour les analystes, le mouvement d'homogénéisation des informations amorcé par Bâle II est une bonne chose. Cependant en termes de "pilotage stratégique de la banque", tous s'accordent à dire, banquiers, régulateurs, représentants des marchés financiers et agences de notation compris, que le nouveau ratio de solvabilité n'est pas une fin en soi. Chaque banque devrait rester maître de ses propres outils de pilotage interne. ( Cet article vient compléter les réflexions du " groupe McCarroll " présentées ci-avant, mais ne s'y inclut pas. En effet, Arnaud de Servigny ne fait pas partie de ce groupe de travail.)

RB