Dès le lendemain de l’appel de Manuel Valls à un rassemblement de la gauche, Arnaud Montebourg et Benoît Hamon ont répondu par la négative. Aurélie Filippetti s’est elle aussi exprimée : « Je pense que les Français ne nous croiront pas, ne nous feront pas confiance une deuxième fois si c'est un simple rassemblement de façade, uniquement pour dire, “Attention, attention, on risque de perdre l'élection !” ». (source : Reuters)