Dans cette affaire, Tracfin a dénoncé des mouvements suspects qui laissaient supposer des faits de blanchiment ; Julien Dray, député de l’Essonne, fut alors mis en cause.
Mais, tout à fait exceptionnellement, la défense de Julien Dray s’était vue autorisée par le procureur Marin à avoir copie de pièces du dossier au cours de l’enquête préliminaire, pour lui permettre de faire ses observations sur ces éléments. Celles-ci ont convaincu le procureur qu’il n’y avait pas ...