Le 13 mai dernier, Amazon Web Services (AWS) organisait une journée à Paris pour rencontrer ses clients, partenaires et prospects. L’occasion pour la société de promouvoir le Cloud computing public et hybride, qu’elle commercialise depuis 8 ans. Si celle-ci s’enorgueillit désormais d’avoir 70 % des entreprises du CAC 40 dans sa clientèle, les banques françaises brillaient par leur absence et, officiellement, ne sont pas clientes d’Amazon. Côté finance, Amazon ressort toujours les mêmes exemples : le Nasdaq, qui utilise EC3 pour faire face à des pics de charge, et le Tokyo Stock Exchange, qui utilise Amazon et Oracle pour développer et tester de nouveaux produits avant de les mettre en production (hors du cloud d’Amazon). Pourtant, les nouveautés ne manquent pas : AWS a lancé 56 offres différentes depuis février 2013, et a annoncé 43 baisses de prix depuis son lancement, posant au passage des questions sur la rentabilité de cette branche au sein de la société Amazon.
La dernière nouveauté en date, Workspaces, est un système de poste de travail virtualisé et hébergé sur le Cloud d’Amazon (via