Voici quelques jours, le comité de Bâle a accepté d'assouplir un peu plus les règles de calcul du ratio de levier tant décrié par les banques. L'amendement le plus notable concerne les positions nettes – et non brutes comme à l'origine – qui seront désormais utilisées pour comptabiliser les investissements de court terme. La prise en compte du hors-bilan, des repos et des dérivés est également modifiée. Si le ratio minimum reste inchangé à 3 %, en revanche, le régulateur bâlois se réserve la possibilité d'utiliser à terme au numérateur le capital réglementaire plutôt que le Tier 1.
D'autres annonces ont concerné les ratios de liquidité. Les actifs éligibles au
Enfin, une consultation de 3 mois est lancée afin de mettre le
A. M.