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Mark to Market ou Mark to Model : une troisième voie est possible

Créé le

19.10.2011

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Mis à jour le

26.10.2011

L’évaluation du bon niveau de capitalisation des banques est indissociable du mode de comptabilisation retenu pour les actifs fragiles, les dettes souveraines européennes en l’occurrence. Entre le « tout marché » et le sur-mesure, il existe une solution intermédiaire, plus réaliste et moins procyclique.

La passe d’armes entre le Fonds monétaire international et l’Union européenne sur la solvabilité des banques semble liée à deux approches opposées d’évaluation des actifs : le Mark to Market d’un côté, le Mark to Model de l’autre. La mise à la valeur de marché des obligations souveraines détenues par les banques se traduit mécaniquement par des pertes plus importantes que celles qu’elles déclarent, et consécutivement, par un besoin de renforcement des fonds ...

À retrouver dans la revue
Revue Banque Nº741