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Taux d'intérêt et TEG : questions d’actualité

L’ « affaire » de la décimale

Créé le

31.07.2018

-

Mis à jour le

25.09.2018

Depuis 2013, de nombreux emprunteurs ont demandé la déchéance du droit de leur banque à percevoir des intérêts sur leur crédit, en invoquant des erreurs de TEG minimes. Le principe pourtant reconnu par la Cour de cassation, selon lequel cette sanction n’est encourue que si l’écart entre le taux figurant dans l’acte et celui revendiqué est supérieur à la décimale, reste contesté.

L’argument dit « de la décimale », dans le cadre du contentieux de masse qui s’est développé depuis la fin 2013, est l’un des moyens de défense que les banques ont opposé à ceux, parmi les nombreux emprunteurs sollicitant des tribunaux la déchéance du droit de leur banque à percevoir des intérêts, qui invoquaient des erreurs de TEG minimes, inférieures à 0,1 %. Selon ce moyen de défense, la sanction de la déchéance du droit aux intérêts, ou de ...

À retrouver dans la revue
Banque et Droit NºHS-2018-1