Le risque physique renvoie aux pertes directes causées par les phénomènes climatiques. Il se décline en deux sous catégories :
- les risques chroniques (montée des océans, augmentation de la température moyenne, etc.) qui peuvent progressivement détériorer la productivité d’un secteur donné (par exemple dans l’agriculture) ;
- le risque d’occurrence d’événements météorologiques extrêmes, dont les dommages induits peuvent conduire à la destruction d’actifs physiques (immobilier et/ou de production) et causer une chute de l’activité économique locale.
Le risque de responsabilité correspond aux dommages et intérêts qu’une personne morale serait enjointe de payer au cas où elle serait jugée responsable des conséquences du réchauffement climatique.
Source : ACPR.