Depuis 1988 et la définition du premier ratio bâlois, le ratio Cooke, la régulation s’est focalisée sur une approche quantitative reposant sur la transparence et la possible quantification objective des risques. Les versions suivantes de la régulation ont consacré la complexification des mesures quantitatives du risque. Or cette approche semble aujourd’hui s’essouffler. Jusqu’où peut encore aller la régulation ? Peut-elle avoir un droit de regard sur la prise de décision à un niveau faîtier ? ...