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Titriser plus pour financer plus : à quelles conditions ?

Créé le

20.07.2010

-

Mis à jour le

07.10.2014

Après le coup d’arrêt de la crise des subprime, émetteurs, investisseurs et régulateurs s’accordent sur le fait que le marché de la titrisation doit repartir. Mais comment empêcher que ne se reproduisent les abus des années 2000 ? Et comment redonner confiance aux investisseurs institutionnels sans brider les originateurs ? Alors que les esprits se sont apaisés, différentes pistes sont explorées pour que cet outil serve à nouveau au financement de l’économie réelle.

Subprime, CDO d’ABS, SIV, modèle « originate to distribute »… Le champ lexical de la titrisation n’a jamais été autant utilisé depuis le déclenchement de la crise. Et pour cause puisqu’elle est accusée d’en être largement responsable. Alors que les esprits s’apaisent, professionnels et régulateurs entreprennent de trier le bon grain de l’ivraie. « La titrisation a le même rôle dans la crise que l’automobile dans l’accident de la circulation : c’est un ...

À retrouver dans la revue
Revue Banque Nº724