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Post-crise des subprime

La titrisation américaine plie… mais ne rompt pas

Créé le

10.04.2012

-

Mis à jour le

16.04.2012

Hâtivement considérée comme la cause de tous les maux lors de la crise de 2008, la titrisation américaine a connu des ajustements, mais pas de coup d’arrêt comme ce fut le cas en Europe. Elle reste un instrument essentiel du financement de l’économie réelle.

Il y a cinq ans s’amorçait aux États-Unis une crise financière sans précédent provoquée par l’abondance de crédit bon marché stigmatisée par les dérives du crédit hypothécaire subprime. La titrisation semblait être la cause évidente de tous les maux. En réaction, l’Europe s’empressait de promouvoir de nouvelles mesures réglementaires visant à mieux (trop ?) encadrer cette pratique, pourtant moins en vogue et plus raisonnablement utilisée sur le ...

À retrouver dans la revue
Banque et Stratégie Nº302