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Banque Privée

Avaloq séduit Swiss Life Banque Privée

Créé le

11.07.2013

-

Mis à jour le

30.08.2013

Deux ans après l’ouverture de ses bureaux en France, Avaloq annonce avoir signé un premier client pour son progiciel bancaire : Swiss Life Banque Privée. Cette banque, filiale du groupe Swiss Life et de Viel, est basée à Paris avec ses 120 collaborateurs et compte 5 000 clients. Elle a choisi, outre le module de core banking, ceux concernant les activités moyens de paiement, la Bourse et la gestion des marchés. « Nous avons choisi Avaloq, car Temenos a parlé d’abandonner les logiciels V.Bank et V.Bank Valeurs mobilières (Egyd) que nous utilisions. Nous avions donc un risque que la maintenance ne soit plus assurée et nous en avons profité pour choisir un produit plus évolutif » explique Jean-Michel Claude, directeur études et développement au sein de la DSI de Swiss Life Banque privée et directeur du projet de mise en place d’Avaloq. La décision a été prise en décembre 2012, à la suite d’un appel d’offres et, dans une deuxième phase, d'une étude de faisabilité approfondie avec Avaloq pour valider la solution. « Avaloq répond à toutes nos problématiques bancaires et de titres. Il est capable de travailler en hub, c’est-à-dire de centraliser plusieurs instances de l’outil pour plusieurs filiales et structures. Ce qui nous permet de nous projeter dans l’avenir pour notre développement et de maîtriser les coûts. » Le projet a officiellement été lancé en février dernier et est en cours d’implémentation et de développement, avant une migration complète prévue pour octobre 2014. « En terme d’utilisation de cet outil, ce qui est essentiel, c’est de gagner en autonomie. Nous pourrons faire évoluer l’outil en interne et pour ça nous formons des personnes de mon équipe au développement sous Avaloq, affirme Jean-Michel Claude. Dans les années à venir, Avaloq possèdera des modules de gestion de la relation client et de business intelligence au-delà du core banking qui pourront faire sens pour nous à terme. Ils seront faciles à greffer une fois que nous aurons la plate-forme et partagerons directement les informations centrales. »

À retrouver dans la revue
Revue Banque Nº763