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Gestion actif-passif de la nation

Remettre les cycles de vie au cœur des préoccupations des assureurs vie

Créé le

01.03.2012

-

Mis à jour le

13.03.2012

Hier produit phare de l’épargne des Français et favori des banquiers, l’assurance vie subit une grave crise de maturité. Conséquence de l’évolution de la démographie et des préoccupations des retraités, le produit d’épargne longue de demain reste à inventer.

De toute évidence, la gestion actif-passif de la nation[1] est sous-optimale. Au passif, les engagements s’allongent sous l’effet de l’accroissement de la durée de la vie, financés par un recours massif à l’emprunt. À l’actif se trouve une épargne frileuse, ultra-sécuritaire et en partie stérile économiquement. Livrets d’épargne réglementée (Livret A, LDD, etc.) et immobilier sont les deux mamelles nourricières auxquelles se vouent des épargnants, dont la préférence ...

À retrouver dans la revue
Banque et Stratégie Nº301