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Implantations étrangères en Algérie

La fin de l'Eldorado ?

Créé le

26.07.2010

Avec un taux de bancarisation de l’ordre de 25 %, l’Algérie constitue un relais de croissance pour les banques étrangères. Mais depuis quelques mois, le resserrement du contexte réglementaire risque de réduire la rentabilité de leurs investissements. Comment s’explique le retournement d’attitude du gouvernement algérien ? Ce marché reste-t-il attractif ?

La récente ouverture du secteur bancaire algérien a permis de remodeler le paysage bancaire du pays : une douzaine de banques à capitaux étrangers se sont ainsi implantées et, avec elles, une gamme des produits et services financiers. Le marché algérien, jugé en retard par rapport à celui de ses voisins marocains ou tunisiens, a été rapidement considéré comme un marché d’avenir pour les établissements étrangers. Cependant, depuis quelques mois, la tendance à l’ouverture ...

À retrouver dans la revue
Banque et Stratégie Nº281
RB